L’histoire du sushi a débuté en Asie du Sud-Est. La technique consistait à conserver du poisson cru. Afin de ne pas pourrir, celui-ci devait être salé et stocké dans un récipient avec du riz fermenté. Le sushi est l’une des recettes asiatiques les plus appréciées dans le monde.
Histoire et évolution de la perception du sushi
Dans le Japon antique, le poisson et le riz étaient une importante source de protéines pour la population malgré la préférence pour les insectes dans certaines régions du pays. La consommation de poisson cru était une culture importée de Chine et cela a donné naissance à la tradition des sashimis. Les sushis sont apparus avec tout d'abord les narezushis au 14ème siècle, à l’ère Muromachi. L’ajout de vinaigre permet de rehausser le goût de ces petits délices et de contourner l’étape de fermentation du riz. Les oshi sushis proviennent traditionnellement d’Osaka. L’appellation signifie goût du vinaigre. Il convient de presser ensemble le riz vinaigré et le poisson en réalisant des formes de bois. Renseignez-vous Fleur de sushi pour plus d’informations sur les différentes variations de sushis existants.
À la fin du 19ème siècle, le sushi était perçu comme l'équivalent actuelle d'une nourriture de fast food. Façonnée à la main, la recette devait être rapide à préparer. Le temps de fermentation est réduit autant que possible. Auparavant, les portions étaient plus importantes. Une part permettait ainsi de nourrir un homme. Le poisson venait tout droit de la baie de Tokyo, d’où l’appellation Edomae nigirizushi. Le nigirizushi était la première forme de sushi. Les autres variétés, à savoir les temaki, les makizushi et les chirashizushi se sont apparus plus tard.
La composition du sushi
Devenus tendances dans les années 2000, les restaurants à sushis ont envahi les villes voire les petites cités. Synonyme de nourriture équilibrée, ces préparations sont devenues un vrai phénomène en vogue. Au pays du soleil levant, elles représentent tout un art pour les maîtres sushis. En France, on recense plusieurs restaurants de sushis, comme Fleur de sushi, qui proposent de délicieuses recettes aux adeptes. . Cette recette typique japonaise s’est largement démocratisée. Certains cuisiniers vietnamiens la combinent avec des yakitoris et des nouilles. Au Japon, on ne mélange pas les sushis avec les mets. Chaque restaurant est désormais fidèle aux réalisations de ses maîtres. Il est également possible de remplacer le poisson par du surimi.
Les sushis low cost contiennent un exhausteur de goût, des conservateurs, des colorants, de l’huile végétale, du glutamate et bien d’autres ingrédients. L’ajout d’additifs dans ces préparations est parfois même abusif. Si vous êtes un grand amateur de sushi, privilégiez les rares restaurants qui servent des recettes typiques du Japon. Ces professionnels proposent de savoureux sushis à la base des ingrédients traditionnels.
Les différents types de sushi
En France et partout dans le monde, beaucoup de personnes pensent à tort que le sushi est un assemblage de boule de riz vinaigré et de tranche de poisson cru. Cette erreur persiste depuis longtemps. Peu esthétique, l’oshi sushi est composé de riz Sumeshi et de poisson. Les deux ingrédients sont pressés dans un moule en bois et découpés en rectangles ou en carrés. Aussi appelé nigirizushi, le sushi traditionnel est composé de riz Sumeshi façonné à la main et d’une fine tranche de poisson cru. En France, certains restaurants servent le nigirizushi avec une tranche d’avocat. Le maki sushi, simplement nommé maki est proposé par de nombreux chefs cuisiniers français, dont un restaurant japonais à Caen. Il fait référence à un type de feuille d’algue. Le maki est présenté sous forme de rouleau quasiment semblable au sandwich. Cette variété de sushi est traditionnellement composée d’un seul ingrédient. Préparés avec plusieurs composants, le futo maki autrement nommé sumo maki est un gros sushi. Il est découpé en de fines rondelles avant d’être servi. Cette recette est reconnaissable avec ses ingrédients colorés.